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mercredi 7 mars 2018

Viking

Nous sommes dans un pays du Nord que je n'est pas identifié, mais qui pourrais être le Danemark.
Un homme se tient debout. Il est très grand, a les épaules larges. Il est vêtu d'un manteau en peau de bette, un pantalon et des bottes hautes en fourrure.
Dans une main il tien une épée de l'autre une hache.
Le bouclier est sur sont dos, pour le tenir, une sangle de cuir traverse ça poitrine.
À la ceinture il porte également un poignard.
Ça femme le regarde pour imprimer
l'image de sont homme dans ça mémoire  .
Il est prêt à partir pour le combat.
Elle s'avance lentement vers lui , sans le quitter du regard, un fils dans les bras et l'autre lui tenant la main.
Devant ça femme il dépose les armes, la serre fort tout contre lui et respire sont odeur. Il profite de cet instant magique, il l'aime tant.
Il dépose un tendre baiser sur ses lèvres, le front, lui promet qu'il reviendra. Il embrasse chacun de ses deux fils et demande au grand de veiller sur ça mère de faire tout ce qu'elle demande et d'être sage.
Ce viking est mort au combat, ça famille a était décimée.
Le souvenir de cette vie lointaine appartient à un ami.
C'est en discutant que j'ai eu accès à cette petite bulle d'un temps passer pour l'aider à finir ce qui est resté en suspens.
Je l'aide à retourner dans cet espace-temps, il voit la même chose que moi, je suis là juste pour le guider.
Le couple est heureux de se retrouvé, ils se disent qu'ils s'aiment. La femme et les enfants comprennent qu'ils ne font plus partie de ce monde.
J'ai la chance d’être observatrice de ce joli moment.
Ils se disent adieux.
Nous revenons dans le présent.
D'avoir pu revivre une partie de cette vie de viking, revoir ça famille, pouvoir lui dire au revoir, à permis à ce monsieur de lâcher une grande partie de ça colère qu'il ne comprenait pas.
C'était une blessure karmique, restée ouverte. La plaie est refermée aujourd'hui.
Quand on commence le développement personnel, on va faire de grands changements au font de nous qui changes un homme ou une femme à jamais...
Je vous dis à bientôt et vous laisse méditer sur ces sages paroles qu'un ami m'a distillé.
Sorcière

Elle s'appelle Gwendoline, habite un petit village de l'époque médiévale.
Sa maison se trouve dans une clairière bordée par les bois.
C'est calme et paisible. Ses journées sont occupées à la cueillette de plantes, baies, champignons et autres.
De ses cueillettes, Gwendoline réduit en poudre et fait toutes sortes de décoctions destinées aux soins.
Elle à la connaissance des plantes médicinales, trouve l'eau, voie les mondes invisibles, peut voir la vie passée, présente et future des gens.
Les femmes du village viennent la voir pour des remèdes, ses dons de voyante et échangent de nourriture ou services.
Les soirs de pleine lune, Gwendoline se vêtit d'une longue robe blanche, met des fleurs dans ses cheveux. La nuit venue elle danse a la lueur de flambeaux pour rendre hommage à la terre notre mère Gaia ainsi qu'aux divinités aux quel elle croie et vénère.
Ça vie, qu'elle partage avec ses enfants n'est que douceur et amour. Les jours sont doux chaleureux et paisibles jusqu'au jour ou ces mêmes femmes qui sont venus lui demander service l'on accusée d'empoisonneuse.
Les hommes sont venus chercher la sorcière, armée jusqu'aux dents.Ses enfants étaient présents, pauvres petits, voir leur mère être capturée et enlevée par la force, ils sont transits de terreur.
C’est enchaîné par les poignets qu'ils l'emmènent loin de ça forêt, de ses enfants qu'elle ne reverra plus.
Gwendoline n'a pas droit à un procès. Elle est exhibée sur la place publique. On lui crache dessus, jette des cailloux et toute sorte de choses pendant qu'un homme-lit à haute vois tout ce dont elle est accusée.
La foule réclame la mort de la sorcière!!!
L'homme prend la décision qu'elle doit périr.
Elle est détachée, toujours enchaînée, mais résignée, elle sait qu'elle n'échappera pas à la mort.
Ils l'emmènent vers sont bûché. Elle avance tête basse tout en recevant des coups. Elle trébuche et tombe à terre.
La foule déchaînée profite pour la ruée de coups de pieds.
Elle entend pleuvoir les insultes:
_Sorcière...
_ Elle fait l'amour avec le diable à la pleine lune, je l'ai vue!...
_Elle invoque les démons...
_Empoisonneuse!...
Gwendoline ne sent plus ni les coups ni les larmes coulées sur ses joues, pas plus  que ce que la foule hurle.
Elle n'a qu'une pensée, ses enfants qu'elle ne reverra plus jamais. Tout son cœur est envahi par la douleur, la culpabilité et le désespoir d'abandonner ses petits.
Que vont-ils devenir?
Elle n'a même pas pu les embrasser une dernière fois, tout ça pour avoir voulu aider, être généreuse et gentille pour ces gens.
C'est de cette façon, ruée de coups, roulé dans la boue que se termine la vie de Gwendoline.

C'est une bien triste histoire, mais s'il doit y avoir une morale ce serait celle-ci pour moi:
Partager sont savoir et ses compétences, les mettre au service des autres pour le bien de tous peut être dangereux, mais quels beaux cadeaux.
Aujourd'hui beaucoup d'entre nous sont prêt à donner et recevoir, mais beaucoup d'autre pas. Il faut juste accepter que l'on ne peut pas sauver la terre entière et que chacun évolue et peut recevoir à sont rythme.
Est-ce que Gwendoline si elle était revenue aurait pardonné?
Je laisse cette question à votre imagination
 

jeudi 1 mars 2018

Lutin

C'est le soir, il fait nuit dehors, la maison est calme, sauf le chat.

Il fait toutes sortes de cascades.
C'est sont quart d'heure de folie comme souvent.
En observent mieux, je me rends compte qu'il ne joue pas tout seul. Ça lui arrive souvent de jouer avec des lutins ou autre...
Les chats ont la faculté de voir ce que nous ne voyons pas, pour la plus par des gens, les fantômes et êtres de la nature entre autres.
Une chose est différente d'habitude, il a un lutin sur le dos!
Je les regarde jouer amusée et j'ai envie de les rejoindre.
Ce qu'il faut savoir c'est que j'ai du parquet au sol dans toute ma maison, il est impossible de se déplacer en silence, le parquet grince.
 Décidé  à les rejoindre, ils sont dans la cuisine.
Je me lève du canapé, le contourne, me dirige vers eux.
Les genoux a terre, mes deux mains sur la deuxième marche, je suis à quatre pâtes, coudes pliés, le haut du corps abaissé, tète relevé.
Je les observe.
Le chat, dit Candy, court dans tous les sens donc avec un lutin sur le dos.
 À cheval sur sont collier il se tient par les moustaches.
Il rit à pleine gorge pendant que le chat essaie de s'en débarrasser en sautant, envoyant les pattes arrière ...
À un moment le chat se rend compte que quelque chose l'observe. Visiblement c'est plus perturbant que le lutin, car Candy arrête de jouer.
Elle se met face à moi, le poil relevé et crache.
Ouuuuu, mais c'est qu'elle me fait peur, Candy est prête à me sauter dessus.
Là, je me rends compte de la position dans laquelle je suis, celle d'un félin!
prenant conscience de ce qu'il se passe, aussi tôt je me redresse en la rassurant:
- C'est moi ma fille! tout va bien
Le chat me reconnaît et se calme, ouf!
Le lutin à disparu et Candy viens réclamer un câlin.

À ce jour je ne sais toujours pas comment il est possible que je me sois déplacée sans aucun bruit pour que Candy ne m'entende pas arrivée et prendre la position d'un félin.
Le mystère restera entier et non élucidé.